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Avec l’agilité d’une jeunesse enviable, Violeta Rodríguez Fernandez, diplômée en Études est–asiatiques, explore les traces de l’art japonais dans les disciplines plastiques européennes de la fin du XIXe et du XXe siècle, en particulier dans le domaine de la peinture. L’impressionnisme, le post-impressionnisme et l’avant–garde ont été influencés par le pays du Soleil-Levant, et certains noms se distinguent particulièrement: Van Gogh et Miró, par exemple, qui ont succombé aux suggestions de spiritualité transmises par l’art d’Extrême–Orient. La position de Picasso, qui a nié toute sa vie toute forme d’inspiration japonaise, est très curieuse, mais son œuvre dément ses paroles, comme on peut le voir dans les pages de ce livre. Nous nous trouvons donc face à une approche très attendue des points de tangence entre deux cultures aussi éloignées et, apparemment, aussi différentes que l’européenne et la japonaise. Ce livre se termine par l’influence japonaise sur l’architecture moderne, comme on peut le voir, par exemple, dans la maison Schindler.
Depuis mon enfance, j’ai toujours été intéressée par la compréhension du comportement humain et par les différentes visions de la réalité. J’ai obtenu un diplôme en Études est–asiatiques à l’Université de Séville (2016-2020) précisément parce que je voulais connaître en profondeur la sagesse ancienne que ces cultures possèdent, en me spécialisant dans la culture japonaise. À travers les recherches de ce livre, j’ai voulu mettre en lumière un fait souvent ignoré: la culture asiatique, en particulier celle du Japon, a influencé l’Occident tout au long de l’histoire. Il est certain qu’aujourd’hui, on assiste à une redécouverte de la vision asiatique du monde à travers la culture pop. Toutefois, le dialogue entre les «deux mondes>>> avait déjà eu lieu, comme en témoignent les artistes d’avant–garde.
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